C’est là, comme nous le rappelle Saint Paul, que nous sommes appelés à travailler, avec courage, générosité et créativité, pour que le monde soit plus juste et plus beau. Voilà le don de Dieu, celui qu’Il nous offre maintenant, aujourd’hui, ici.
« Nous ne pouvons servir à la fois Dieu et l’Argent. » Voilà une consigne évangélique qui nous pousse à choisir le chemin qui ouvre sur un avenir plus juste, plus humain.
Demandons à Jésus qu’Il nous accompagne et nous instruise toujours pour que nous gardions toujours la route de la Cité du Ciel, du Royaume.
3e DIMANCHE DE L’AVENT – « GAUDETE » – C Mgr Jude St-Antoine So 3, 14-18 ; Is 12 ; Ph 4, 4-7 ; Lc 3, 10-18 13 décembre 2009 Montréal, Sanctuaire du Saint-Sacrement Soyez toujours dans la joie du Seigneur Quoi de plus naturel pour la liturgie que de présenter ce matin, dans l’attente […]
L’amour ne peut être que libérateur et rayonnant, réconfortant ceux qui le rencontrent. Notre source intarissable et inépuisable de consolation se trouve dans la Parole même de Dieu, aujourd’hui, qui s’incarne réellement dans le Pain de Vie de l’Eucharistie pour chacune des myriades d’étoiles que nous sommes.
N’ayons aucune inquiétude, il y a de quoi nourrir tout le monde ici présent au pied de Jésus comme sur la montagne. Nous ramasserons les morceaux car il y en a encore d’autres qui ont faim. Réjouissons-nous : il nous a sauvés ! Que la main du Seigneur repose sur cette montagne et sur chacun de nous. Qu’il en soit ainsi.
Entre l’avènement du Christ à l’aube de l’ère chrétienne dans l’humble grotte de Bethléem et celui, dans la gloire, à la plénitude des temps, saint-Bernard de Clairvaux en place un troisième : celui où le Christ continue à venir en chacun dans la discrétion du Bien-Aimé attendant son bon vouloir pour entrer dans sa vie.
Faisons de Marie notre Soeur, notre Accompagnatrice sur le chemin de la sainteté si nous voulons exercer quelque leadership
dans l’établissement du Royaume en nous et autour de nous.
La lecture de ce passage du livre de la Sagesse nous invite à réfléchir, comment des gens ont pu admirer les beautés de la création sans y reconnaître la main du Créateur. Par contre le sage ne les blâme pas entièrement, il reconnaît leurs efforts pour chercher Dieu Ils ne s’égarent peut-être qu’en cherchant Dieu (Sg.13,6).
Les Béatitudes, le Sermon sur la montagne est un chemin de vie pour nous. C’est un chemin du possible, parce que c’est l’Esprit lui-même qui nous y guide. Nous sommes tous fils et filles de Dieu, laissons-le nous prendre par la main, laissons-le nous conduire jusqu’en son Royaume!